Il y a quelques années, un auteur avait fait un livre sur les graffitis des tables des lycées de France et de Navarre. D'anecdotique, l'ouvrage était vite devenu le témoignage poignant des états d'âmes de la jeunesse du pays. Si certains gribouillis étaient pleins d'espoir, d'autres en revanche étaient déjà profondément désabusés ou pessimistes.
J'ai eu envie à mon tour de garder un témoignage de mon séjour à la clinique du Coteau. Mais comment faire quand photographier les résidents est interdit ? Ce sont les tables de pique nique du parc qui m'ont soufflé l'idée...
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