La découverte de
l'Ours Polaire et plus largement de l'oeuvre de François Pompon m'a réellement marqué. Je ne connais vraiment pas grand chose en matière d'art et je fonctionne donc à l'émotion basique : ça fait "clic" ou pas !
Autant Picasso dans sa période cubiste me laisse de marbre, autant je chavire devant
le lac de l'Eychauda de Laurent Guétal, peintre alpiniste Grenoblois.... Sa toile restitue parfaitement la lumière du coucher du soleil, le pourpre des montagnes et la phophorescence de la neige gorgée de lumière. Je la trouve... parfaite car l'émotion est là, brute, entière.
Nous y voilà de nouveau à cette histoire de perfection... Elle m'amène à un autre cas, celui de la belle Natalie Dessay, qui me laisse absolument sans voix, c'est le cas de le dire... Grâce à elle, j'ai redécouvert l'opéra français que je tenais pour totalement ringard. Honte sur moi ! Et l'écouter a de véritables vertus thérapeutiques chez moi. Cette Natalie Dessay là a le don de me mettre de bonne humeur pour la toute la journée !
Quand elle chante, elle est déconcertante de facilité et de virtuosité. Sa présence sur scène est époustouflante, digne de la Callas. Alors, comme dans l'ours polaire de Pompon, qu'y a-t-il à enlever ou à changer dans son art ? Est-ce que la cantatrice ne touche pas déjà à la perfection ?
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